Edika - La série

Débiloff Profondikoum est le premier album d'Edika, l'un des auteurs les plus déjantés de Fluide Glacial. Son dessin très libre sert admirablement la folie débridée de ses scénarios. A première vue, il semble simplement obsédé par les bonnes soeurs et les W.C. Mais en profondeur, son oeuvre exprime sa quête éperdue du grand amour (ou du petit). C'est du Harold Lloyd revu par Tex Avery. Humour fou pour esprits sains. "

Homo-sapiens Connarduss est le deuxième album d'EDIKA, le plus fou des auteurs de FLUIDE GLACIAL. Le titre de l'ouvrage, un peu intellectuel certes, nous prouve que ce que les philosophes et les biologistes soupçonnaient déjà fortement, est une réalité : l'homo-sapiens connarduss existe, EDIKA l'a rencontré. Et il nous en fait la démonstration par l'absurde dans chacun des six récits qui composent ce recueil. A noter dans cet album, une évolution dans l'oeuvre de l'auteur. S'il est toujours obsédé par les bonnes soeurs, il l'est déjà moins par les cuvettes de W.C. Mais il poursuit toujours sa quête angoissée de la nature profonde de l'âme humaine. C'est Harold Lloyd revu par Tex Avery avec une petite touche d'Heidegger. Cocktail explosif à manipuler avec précautions.

Yeah ! est le troisième album d'EDIKA. Dans les six récits de ce recueil, la folie dévastatrice d'EDIKA s'est encore aggravée ! - il enferme toute l'équipe de Fluide Glacial dans les W.C. pour refaire le gag de la cabine des Marx Brothers, - il provoque l'intrusion de ses personnages dessinés dans son univers réel (où il s'est lui-même photographié), pour une idée de science-fiction extraordinaire, - il nous raconte le priapisme du prêtre de l'Express Paris-Nice, pour une démolition en règle de l'érotisme bon-chic-bon-genre tellement en vogue. Un humour vraiment fou pour lecteurs très sensés.

Absurdomanies est le 4ème album d'EDIKA, cet auteur fou dont les précédents titres parus étaient déjà à eux seuls tout un programme. Et bien cela ne change pas, tout en étant jamais pareil. Le charme (fou lui aussi) et le tour de force d'EDIKA est de nous emmener toujours plus loin dans ses délires à savoir dans cet album : une scène de drague sur la plage, un strip-tease en musique, un passage à la douane, une messe, des cascades perilleuses et un match de foot qui dégénère (mais de toutes façons, ça dégénère toujours avec EDIKA… un charme fou on vous dit!). Un album à lire en faisant le poirier.

Résumé de l'album Sketchup Vous êtes du genre timide ? Ne soyez pas gêné(e), beaucoup d’autres personnes le sont aussi. Vous avez rencontré votre partenaire par petites annonces ? Ne soyez pas honteux(se), vous n’êtes pas le(la) seul(e). Vous avez un chat pédé ? Ah, là, effectivement, les choses se gâtent. Mais comme ceux à qui c’est arrivé, vous trouverez sans doute les moyens de régler le problème. Enfin, peut-être... Comme quoi nous sommes tous un peu des personnages d’Edika : des gens normaux vivant l’aventure au quotidien. Euh, tous un peu, tous un peu. Euh, surtout vous, eh, fadas !

Un bouglou à sens giratoire inversé va vous transporter dans une autre dimension : laissez-vous guider par Rachid le myope vers les profondeurs insondables de l'imagination débordante d'Edika au sommet de son art. Je sais, ça veut rien dire. Mais j'ai toujours rêvé d'écrire ça... Si ça vous plaît pas c'est pareil ! On me la fait pas : je suis un ancien pianiste, merde !

A travers les huit récits de cet album, EDIKA tente, une fois de plus, de se libérer de son éternelle obsession, la quête du grand amour, par une volonté de dérision, de scatologie, de sexe exacerbé et de violence destructrice. Il passe à la moulinette la religion, la prostitution, la télévision, la drague et même la science-fiction (avec un très beau mélange de bande dessinée et de photographie). Un humour complètement fou. Ne pas dépasser la dose prescrite.

Tshaw ! est le huitième album d'EDIKA, et contrairement au titre qui pourrait sous-entendre que c'est le dernier, ce n'est aucunement un chant du cygne. Dans les six histoires qui composent cet album, on retrouve l'habituel univers en folie de l'auteur, avec ses fantasmes sexuels, ses bonnes soeurs rockeuses, ses femmes aux poitrines opulentes et son angoisse métaphysique débordante. Un humour tout à fait dément pour lecteurs tout à fait seins.

EDIKA, le plus fou des auteurs de Fluide Glacial et le plus apprécié des lecteurs de 1 à 100 ans, nous sert ici une nouvelle série de ses fantasmes à base de plages ensoleillées, de maillots de bain copieusement garnis et d'embouteillages. Avec lui, la vie de famille devient une grande aventure, pleine d'imprévus burlesques et de saine folie avec, toujours en vedette, Clark Gaybeul, le chat si sexy. Une bonne cure de rire (abus non dangereux).

C'est le dizième album d'EDIKA, toujours aussi fou et de plus en plus apprécié par les lecteurs/trices les plus jeunes (et les moins jeunes aussi). Des huit histoires qui composent cet album, rien que les titres sont déjà la preuve de la folie dévastatrice d'EDIKA : Emmanuelle 17 ; Joseph, Olga, Aldo, Edmonde et les autres ; Début d'activité des glandes reproductrices ; etc... (titres d'autant plus fous qu'ils n'ont la plupart du temps aucun rapport avec l'histoire). Depuis les classes de 5ème jusqu'aux salles d'opération des hôpitaux, tout le monde connaît ses personnages délirants et surtout Clark Gaybeul, son chat si sexy qui finit toujours par avoir le dernier mot. Un album idéal pour sourire finement et rire sans complexes.

ORTEILS COINCES est le onzième album d'EDIKA, dont la folie dévastatrice est connue de toute notre belle jeunesse française. Son chat sexy Clark Gaybeul est en passe de devenir un personnage national. Avec ses routiers énormes, ses douaniers bornés et ses plages débordantes de seins nus, EDIKA nous fait exploser à chaque gag. Et dans les sept histoires de cet album, ils sont innombrables. Les gags. Du rire franc et massif, voilà ce que nous apporte EDIKA ; sans aucune prétention. ORTEILS COINCES : un excellent remède pour les casse-pieds.

Sept aventures de la famille Proko. Les vacances, le supermarché, l'élevage de poisson-rouge, le préservatif, les documentaires télévisés et j'en passe sont autant de bonnes occasion pour Edika de laisser libre cours à son imagination débordante.

Un album réalisé en pyjama couleur blouze exceptionnel à ne rater sous aucun prétexte ! C'est le treizième album d'EDIKA (tous en vente partout), l'auteur le plus fou de l'équipe de Fluide Glacial. On y retrouve, en 7 histoires hilarantes, les obsessions habituelles de l'auteur, à base d'éducation sexuelle abracadabrante et de poitrines impressionnantes, avec toujours, sa famille hystérique et surtout son chat sexiste, personnage vedette de cette saga. L'humour délirant d'Edika se déchaîne, plus fort que jamais, et renvoie l'érotisme classique au rayon des antiquités. Un débordement de gags à lire nu(e) sous la couette.

Bi-Bop Euh... Loula est le quatorzième album d'EDIKA (il avait juré à l'époque de trouver un titre un peu moins métaphysique pour le suivant...). Il rassemble sept histoires délirantes qui débordent, plus qu'elles n'abordent, les grands thèmes de la société moderne, des "secrets de l'entente conjugale" aux "joies du scoutisme"... Des tonnes de gags, tous plus fous les uns que les autres, déferlent une fois de plus sur les amateurs d'EDIKA, avides de gros seins coincés entre la plage et l'autoroute. A lire sur le bas-côté.

Ce quinzième album d'EDIKA rassemble sept histoires abracadabrantes où l'on retrouve les fantasmes et les personnages délirants chers à l'auteur comme à ses fans (toujours plus nombreux). Des gags par milliers pour tous ceux qui, du lycée aux salles d'opérations des hôpitaux, aiment agiter leurs neurones dans les soubresauts du rire. A lire juste après une opération de l'appendicite.

C'est le seizième album d'EDIKA. Au sommaire, sept nouvelles histoires pleines de folie, d'absurde, de non-sens, de délire et bien sûr de gags désopilants... Bref, tous les ingrédients du fameux humour d'EDIKA qui provoque un rire à couper le souffle! Prudence pour les non-initiés: la lecture de RELAX MAX peut occasionner de graves douleurs aux zygomatiques.

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Aussi incroyable que cela puisse paraître, année après année, EDIKA ajoute une pierre à l'édifice de son œuvre : de Débiloff Profondikoum à Melon Bago, il y a eu des Yeah ! Tshaw! Bluk -Bluk, et autres Splatch !… et de nombreux autres suivent. C'est vrai qu'à force de rire aux éclats devant tant de délires, de folies, de burlesques fantasmes, on ne pense pas que tout cela constitue un monument d'humour unique et totalement original... Et pourtant, nous avons, avec ce tome 19, la preuve (bien en chair... ) que cet immense talent est là pour longtemps, pour le plus grand plaisir des centaines de milliers de lecteurs qui ne jurent plus que par Edika.

Depuis les débuts du mensuel, Edika sévit chaque mois dans un genre d'humour qu'il a inventé et qu'il reste le seul à pratiquer : gags en pagaille, non-sens, personnages délirants, pin-up, le tout dessiné et dialogué d'une manière unique et si originale... Les histoires réunies dans ce dix-neuvième album déclenchent encore une fois des crises de rires inextinguibles chez des dizaines de milliers de fans de tous âges

Avec un à-propos incroyable, un rare sens de l'événement, et absolument sans le faire exprès, EDIKA nous a offert son vingtième album au moment même où Fluide Glacial fêtait son vingtième anniversaire ! Il réunit huit histoires toutes plus délirantes les unes que les autres, pour le plus grand plaisir des amateurs de ce grand maître de l'humour absurde : obsédés, poètes, grands malades, potaches, raffinés en tous genres. Cette fois encore, EDIKA nous rend la vie quotidienne jubilatoire, grâce à son immense talent pour raconter les destins improbables de ses personnages en maîtrisant parfaitement un style graphique et narratif qu'il a inventé : le Débiloff Profondikoum.

Voici le 21ème album d'EDIKA, qui réunit huit histoires toutes plus délirantes les unes que les autres, pour le plus grand plaisir des amateurs de ce grand maître de l'humour absurde : obsédés, poètes, grands malades, potaches, raffinés en tous genres… Cette fois encore, Edika nous rend la vie quotidienne jubilatoire, grâce à son immense talent pour raconter les destins improbables de ses personnages en maîtrisant parfaitement un style graphique et narratif qu'il a inventé, une sorte de cinéma à plusieurs vitesses : passant de 24 images/seconde à 1 image/minute sans que le spectateur ne cesse de haleter. De désir, de plaisir, de manque ? Sans doute. De rire, certainement.

Une fois de plus, EDIKA nous livre un album doté d'un titre dont les lecteurs pourront apprécier le pouvoir évocateur. Mais ils peuvent être rassurés : dans ce 22ème tome, ils dégusteront le cocktail détonant que seul EDIKA sait confectionner : superbes créatures "souffrant" d'hypertrophie mammaire, famille décalée vivant au rythme des facéties de leur chat Clark Gaybeul, maîtres nageurs stupides, animaux divers, etc. Voici huit nouvelles histoires délirantes qui débordent, plus qu'elles n'abordent, les grands thèmes ... Lire la suite de la société moderne. Fantasmes délirants pour obsédés... d'humour !

Avec Edika, on ne se rappelle pas toujours le titre des albums ou des histoires, mais on se souvient de scènes, d'images ou de répliques qu'on relit et qu'on se raconte, pour rire encore tellement c'est... Dans ce tome 23, nous revoilà aux prises avec la vie épique de la célèbre famille Bronsky affublée du non moins fameux chat Clark Gaybeul qui ne rate pas une occasion de provoquer des catastrophes inimaginables... sauf pour Edika, ou pour un lecteur de ses albums. Humour tonique, pour détendre les neurones et muscler les zygomatiques.

Vous le connaissez tous, Edika. C'est lui qui dessine ces gus qui ont tous un nez a faire des envieux ! Voilà des albums qui ne vous plongeront pas dans une profonde morosité et c'est tant mieux...Edika vous préfère rigolards et le prouve !

Voici débarqués les rires débridés que provoque en nous le vingt cinquième album d'Edika ! Peut-on dire qu'il s'est enfin calmé ? Hélas, chaque année, on constate que Edika ne s'améliore pas. A chaque album, on note une recrudescence de gags plus délirants, un délire visuel de plus en plus étendu, des audaces graphiques jamais vues. Bref, ce tome est une réussite à tous points de vue, et de nombreux zygomatiques vont encore souffrir !

Un type capable de dessiner un chanteur d'opéra en train de scier un arbre tout en éternuant ne peut pas être foncièrement mauvais, si ? En plus, Edika est capable de beaucoup d'autres choses encore ? même si elles ne sont pas toutes recommandables, ni racontables. Un type formidable, cet Edika. Par exemple, grâce à lui, on sait désormais qu'il suffit de tourner d'un coup sec les pages du Figaro Madame pour couvrir les bruits gênants et inconvenants des borborygmes d'estomac dans la salle d'attente d'un médecin. Fou, non ? Edika est "planchiste". Si vous préférez, il dessine des planches de bandes dessinées dans les pages du mensuel Fouloude Gloziol (Fluide glacial, pour les initiés). C'est bien connu, il n'y a pas de sot métier. Mais parfois, tout de même, en lisant ses histoires abracadabrantes, on se pose la question. Avec lui, le mot "délirant" paraît soudain bien faible. Ses personnages sont outranciers, excessifs, inconvenants, scatologiques et tout ce que vous voudrez. Surtout, ils sont furieusement drôles. Edika, c'est une sorte de Gotlib passé à la moulinette du mauvais goût et de l'esprit "trash". Plutôt réjouissant, non ? Et tant pis si sa famille Bronsky et son chat Clarke Gaybeul heurtent quelque peu la morale et le bon goût : au moins, le lecteur se paie une énorme tranche de rigolade? --Philippe Actère

Préparez vos mirettes, accrochez-vous à vos planches et réjouissez-vous, car le grand maître incontestable de l'absurdo-déliro-déconnium tremens est de retour, et il est en grande forme ! Nous n'allons pas vous faire ici un résumé de son album parce que c'est impossible, ni vous raconter les aventures de ses chauves héros et callypiges héroïnes parce qu'elles sont inénarrables. Édika est le seul à maîtriser son scénario, il respecte avec rigueur la règle de ne s'en imposer aucune dans son récit. L'humour d'Édika est unique. Les gags les plus fous figent les personnages dans des poses ébouriffantes, l'anecdote la plus banale devient une histoire délicieusement débile et sans fin. Tout simplement poilant. Plus que de la bédé, c'est de l'Édika.

Des histoires (en couleur) toujours aussi déjantées, tarées, ahurissantes. Roi (en couleur) incontestable de l'absurdus-delirium (en couleur) et du deconium gaudriolesque, Edika (en couleur) vous sert une nouvelle galerie de personnages hauts en couleur dans des histoires plus jubilatoires que jamais. Ses héroïnes (en couleur) n'ont pas perdu du bonnet (en couleur) depuis leurs dernières aventures (en noir & blanc). Dans cet album également les indispensables conseils (en couleur) pour réussir à uriner (en couleur) les pieds en équilibre sur les murs des toilettes, accroché au plafonnier tout en téléphonant sans que la lunette ne se ferme brutalement (en couleur).

Voici le vingt-neuvième tome de l'incomparable, l'inénarrable, l'inégalable, l'unique et immense saga de la famille Bronski. Comme pour les précédents, il est impossible de résumer une seule des histoires de cet opus. Mais tous les ingrédients y sont : la famille Bronski au grand complet bien-sûr, le chat Clark Gaybeul, les callipyges jeunes femmes à gros bonnets, les gros musclés à petits cerveaux et surtout le trait et l'humour d'Édika. Un univers fait de gags hallucinants, d'absurde décoiffant, de détails époustouflants, de mises en abyme queuedepoissonantes et de délire permanent. Qu'il s'attaque cette fois aux chercheurs ou aux pompiers, aux caméléons ou aux airbags, l'incontestable roi de l'absurdus-delirio-déconium ne part de la réalité que pour mieux la dépasser et tout faire partir en vrille, dans un grand n'importe quoi à se tordre de bonheur.

Avec cet inouï à-propos, ce rare (non) sens de l'événement qui le caractérise et absolument sans le faire exprès, Édika vous offre un trentième album au moment même où Fluide Glacial fête son trentième anniversaire ! Et pour l'occasion, le plus déjanté des auteurs de Fluide et monument de l'humour et de la bande dessinée a une pêche d'enfer ! Cette fois encore il vous rend la vie quotidienne jubilatoire grâce à son immense talent pour raconter les destins improbables de ses invraisemblables personnages en maîtrisant parfaitement ce style graphique et narratif qu'il a inventé : le Débiloff Profondikoum.

En exclusivité mondiale et pour la première fois dans un album d'Édika, découvrez dans cet ouvrage une chute sérieuse et logique (comme ça personne pourra lui dire pourquoi y'a pas de chute dans tes albums et gnagnagna et gnagnagna) ! Vous y trouverez également une souris qui montre ses fesses, un certain Jonas-pas-le-chanteur-celui-de-la-bible, un facteur de banlieue stressé par les chiens abrutis, les fameuses " Édika girls " à gros bonnets et, donc, cette déjà célébrissime chute sérieuse et logique (comme ça personne pourra lui dire pourquoi y'a pas de chute dans tes albums et gnagnagna et gnagnagna). Bref que du pur, du beau du grand Édika dans ce 31e épisode des aventures de la famille Bronsky. Un album poilantisssime !

Vous vous intéressez aux revendications des vieux face à leur sentiment d'angoisse provoqué par un avenir incertain ? Vous voulez voir une météorite tomber sur une radio de marque Sony? Vous aimeriez savoir pourquoi de plus en plus de profs de géométrie renoncent volontairement à une profession aussi noble que la discipline mathématique ayant pour objet l'étude rigoureuse de l'espace et des formes et le rapport de cette désaffection avec des pantalons trop bas d'un centimètre ? Alors précipitez-vous sur le 32e tome des aventures de la famille Bronsky : si vous n'êtes pas certains de trouver la réponse à vos questions, vous êtes sûrs à 100% de vous en payer une bonne tranche. Absurdus delirum à gogo, déconnade à pleins tubes, outranceries outrancières et dessins ahurissants : c'est inimitable et c'est de l'Édika pur jus, en grande forme!

Lèïyeudizes ande dgenteulmènes, voiciiiiiiii Clark Gaybeul ! Oui, le célébrissime chat le plus loufdingue de la BD revient dans ses propres aventures, et ce n'est que justice. Ce chat qui ignore lui-même qu'il est un chat provoque les pires catastrophes dans sa famille d'accueil, les non moins fameux Bronski à qui il vole enfin la vedette. Clark Gaybeul mène double vie et l'étale dans les pages de cet album indispensable, hilarantissime et funambulesquement drôle à s'arracher les poils du chat. Gags d'un autre monde, dessin ahurissant, humour dévastateur : un album complètement édikien, au sens absurdement drôle du terme.

Ce qui est bien avec les albums d'Edika, c'est qu'ils sont impossibles à résumer. Dit-on d'ailleurs INrésumables ou IRrésumables ? Le temps que vous trouviez la réponse, je serai loin. Les turpitudes de la famille Proko, le client-le serveur, le banc public, des gros nichons, des baffes dans la tronche. Huit nouvelles historiettes jouissivement non-sensiques, par l'un des maîtres du gen... Attention la péniche !

Ce qui est bien avec les albums d'Édika, c'est qu'ils sont impossibles à résumer. Dit-on d'ailleurs INrésumables ou IRrésumables ? Le temps que vous trouviez la réponse, je serai loin... La vie d'Édika est nimbée de mystère, tant en raison de la discrétion de l'auteur que de la flemme de son biographe. Disons que né en Egypte, il y aurait été enlevé par Fluide Glacial dont les rédacteurs en chefs successifs le forcent en vain à trouver des chutes cohérentes à ses histoires. Il est vrai qu'Édika, après 35 albums, à narrer les aventures incroyables du chat Clark Gaybeul, de Bronsky Proko et de sa famille, est devenu maitre incontestable de l'humour absurdus-débiloff profondikoum et des fin en queue de * * cherchez pas, c'est une sorte de gag-hommage ! (source : amazon)

Ou comment être pris dans un tourbillon de rire ! Édika est de retour ! Portes qui claquent, amants dans les placards, poitrines généreuses… le dessin s'emballe, les bulles fusent, les détails s'accumulent… Quarante-quatre pages de délire génial explorant de nouveaux thèmes : les femmes, les hommes, Clarke Gaybeul, la vie privée des dessinateurs… Comment, c'est pas nouveau ? Mais on vous garantit que ça bouge toujours autant ! Et puis d'abord je te demande si tu as gagné Paris-Roubaix toi ? Non ? Ben moi non plus… Après deux ans d'absence, le génie de la Bande dessinée d'humour délirant est plus que jamais en forme : échauffez vos zygomatiques !! (source : Amazon)

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